Pleurs de bébé : un facteur de baby blues et de dépression
Les pleurs du tout petit peuvent être particulièrement mal vécu par la jeune maman fragilisée par son accouchement. Les chercheurs suisses ont ainsi déterminé que le mal-être provoqué par les pleurs d’un bébé qu’elles ne parviennent pas à calmer peut débuter dès le séjour à la maternité !
Confrontée à une voisine de chambre dont le nouveau-né pleure moins, ou moins longtemps, la jeune mère peut en ressentir une culpabilité et le sentiment d’être une "mauvaise mère".Le manque de soutien de l’entourage familial et l’absence de modèle de référence, surtout pour les mamans d’un premier bébé, amplifient ce malaise qui peut tourner à la véritable dépression post-partum !
Les scientifiques ont également établi que les pleurs de bébé seraient un facteur de dépression plus important encore que le manque de sommeil ou les problèmes de couple. Une bonne raison de ne pas prendre à la légère votre angoisse devant votre tout petit qui pleure : n’hésitez pas à prendre conseil auprès d’un médecin, d’une sage-femme ou d’un centre de PMI.