Amélie Mauresmo : enceinte et heureuse de l’être
Le jeudi 9 avril, Amélie Mauresmo a créé l’évènement en annonçant sa grossesse sur les réseaux sociaux. Auréolée de deux victoires en Grand Chelem, respectivement à l’Open d’Australie et à Wimbledon en 2006, la championne Amélie Mauresmo avait raccroché sa raquette en 2009 sans pour autant délaisser l’univers du tennis.
Une retraitée active
Depuis sa retraite officielle en tant que joueuse, Amélie Mauresmo est restée proche des courts. Depuis juin 2014, elle est devenue l’entraineur du Britannique Andy Murray. En parallèle, elle a pris en main la destinée de l’équipe de France en Fed Cup, qui va affronter son homologue tchèque les 18 et 19 avril prochains au stade des demi-finales de la compétition.
Maman à 35 ans
Jusqu’à présent, la championne est restée assez discrète sur sa vie privée, même si elle a créé la sensation en 1999 en affichant dans Paris Match sa liaison avec Sylvie Bourdon. Face au déferlement médiatique qui a suivi cette annonce, Amélie Mauresmo avouera plus tard au journal L’équipe qu’elle ne regrettait pas d’avoir officialisé cette relation. Même si les choses ont été difficiles pour elle par la suite.
Cette grossesse à 35 ans constitue par conséquent le second évènement médiatisé de la vie personnelle de la tenniswoman, qui a communiqué la nouvelle sur ses comptes Facebook et Twitter. Dans la foulée, elle précise que le bébé arrivera probablement au mois d’août, juste après la fin du tournoi de Roland-Garros.
À nouveau sous les feux des projecteurs
Nul doute que cette annonce attire l’attention des médias sur Amélie Mauresmo. À noter que la championne a déjà pris soin d’en informer l’équipe de France de Fed Cup, qui a été contente d’apprendre la nouvelle.
Dès la demi-finale à Prague les 18 et 19 avril prochains, il est probable que les caméras scruteront autant son ventre que les passing-shots et autres smashs. Si sa participation aux tournois d’été avec son protégé Andy Murray semble compromise, les observateurs se demandent si elle va délaisser son bébé pour coacher l’équipe de France en cas de qualification pour la finale, qui aura lieu les 14 et 15 novembre.