Posté le : 25-05-2007 à 16:45
Je crois que ça ne vaut vraiment pas la peine de continuer à essayer d'argumenter sur le fond, car en réalité ni toi isa ni vivige ne veulent discuter. Vous voulez qu'on ait de la compassion pour une attitude qui ne nous inspire que de l'incompréhension, ou nous heurte. J'ai essayé d'expliquer, pour vous faire avancer, que le caracyère d'un enfant n'était pas déterminé par sons exe, et qu'il fallait se réjouir avant tout de donner la vie à une personne humaine. Mais vous l'avez pris comme une insulte, parce quevous ne vous lez que de la compassion. Personnellement, je n'aime pas me plaindre, et je ne crois pas que plaindre les autres les fasse avancer.
En tout cas, posez vous quand même une question : pourquoi tant de filles réagissent mal au post de vivige? ça ne vous interpelle pas ? il y a peut-être ue vraie raison et pas seulement de la méchanceté ou de l'immaturité, comme vous semblez le dire, pour vous débarasser à bon compte de réelles objections de fond. Demandez-vous pourquoi une fille comme Dide par exemple (audrey), dont vous pourrez constater que c'est un ange sur tous les posts, toujours à soutenir ou aider, ou une fille comme alex, qui est toujours à l'écoute, ont mal réagi. Dans ton post vivige, il est question du rejet, donc de l'absence de respect pour un être qui n'est pas même encore né, qui n'a pas demandé à naître, e t qui malgré lui dépend de toi et de ton mari pour venir au monde, vivre et grandir. Aujourd'hui on voudrait tout contrôler, mais l'amour et la vie, ça n'est pas un self-service. Sans doute devrais-tu faire un trvaail sur toi-même et mesurer la responsabiblité qui est la tienne, ainsi que celle de ton mari, dans cette vie qui s'annonce, et qui exige ton amour, en dépit de tes doutes, ou de tes blessures passées. La culpabiblité des enfants pour des souffrances qu'ils n'ont pas causées est écrasante, n'impose pas déjà ça à ta fille, en plus de la rejeter par avance.
La vie est dure pour beaucoup, et ce qui nous élève, c'est la dignité et la force avec laquelle on est capable d'assumer cette dureté ; si tu ne peux pas pardonner à celui qui t'a fait du mal, il est à craindre que ta douleur se réinvestisse sur ta fille. Fais un travail sur toi pour en prendre conscience.
Dsl pour la longueur et la leçon de morale, c'est sans doute ma manière à moi de "compatir"