Mon fils, 19 mois, est tres dur...

Bonjour, Voilà je m'adresse à vous car je suis un peu dépité en ce moment. Mon fils qui a 19 mois, me fait la misère. Je travaille beaucoup, une semaine 55h/semaine et la deuxième 45h/semaine et ainsi de suite une fois sur deux. Je vis avec son papa, avec lequel je me suis marié il y a deux mois et avec qui je vis une histoire d'amour formidable. On s'aime trés fort. Jusque là tout est beau tout est rose. C'est lui qui s'occupe de Noa la plupart du temps, je le dépose à la nounou à 7h30 le matin et c'est son papa qui le récupère à 17h45 le soir. Moi je rentre à la maison il est 19h30. Il lui prend son bain... Noa se couche généralement vers 20h30. Mais voilà, puis maintenant un certains temps, noa comment dirais je me repousse. C'est "que son père" Je n'ai le droit à rien de sa part. Le matin je vais le réveiller mais à peine rentrer ds sa chambre c'est "non, non", il ne veut pas. Me fait la misère quand je l'habille avant de partir, c'est constamment des cris et je finis par m'énnerver! Le soir je rentre, veut pas me dire bonjour, quand c'est le repas c'est là misère il balance tout alors qu'avec son père impec!! Ca m'énnerve et c'est comme çà jusqu'au coucher.. Le week end on passe du temps ensemble, ca va impec, mais c'est les soir de la semaine ou c'est la cata! Ce matin grosse crise et là mon conjoint s'y met, me fait des reproches en me disant que je lui crie dessus des le matin, que c'est n'impote quoi. J'ai qu'à être plus souvent avec lui quand je suis là. Il me dit "quand il est dans le canapé, tu vas faire ta vaisselle, il faut rester avec lui, tu feras toutes tes bricoles quand il sera coucher le soir etc... Mais vous savez vous aussi le boulot que c'est un enfant et rentrant tard c'est vrai que je fais tout en même temps, son repas pour le lendemain, son sac, la vaisselle, le linge pour que je puisse être tranquille le soir vers 21h45. Si je fais tout çà quand il sera couché, j'ai pas finie avant 22h30 au moins!!! Je suis perdue, j'ai l'impression de faire mal. Qu'en pensez vous? Est ce qu'il m'en veut de n'être jamais là? Dois je prendre mon mal en patience? Avez vous ces cas là! Ca m'a fait mal tout ce que mon conjoint à pu me dire! Et si je fais tout les bricoles aprés qu'il est couché, je ne suis pas avec mon conjoint tranquille et c'est lui qui me le reproche, c'est un cercle vicieux!! Merci de vos réponses

coucou je me trompe peux etre mais je pense que ton petit bout fais un complexe d'oedipe mais via toi meme en general les complexe d oedipe d un petit garcn sont envers son papa surtout quand il est souvent absent etc mais la le tiens l a avec toi definition du complexe d oedipe: Etape normale dans le développement affectif d’un petit garçon, le complexe d’Œdipe recouvre l’ensemble des pulsions, qui, vers deux, trois ans, conduisent l'enfant à être attiré vers sa mère, en éprouvant de l’hostilité pour son père. D’abord utilisé pour les garçons, il tend aujourd’hui dans le langage courant à être employé pour les deux sexes. - Le complexe d'Oedipe Etape normale dans le développement affectif d’un petit garçon, le complexe d’Œdipe recouvre l’ensemble des pulsions, qui, vers deux, trois ans, conduisent l'enfant à être attiré vers sa mère, en éprouvant de l’hostilité pour son père. D’abord utilisé pour les garçons, il tend aujourd’hui dans le langage courant à être employé pour les deux sexes. Définition Le complexe d’Œdipe est, entre deux ans et demi et sept ans, le rejet inconscient et normal du parent de même sexe, dû à une projection amoureuse sur le parent de sexe opposé. Cette étape se résout naturellement par l’identification progressive au parent de même sexe. Les origines du concept Le complexe d’Œdipe a été identifié, pour les garçons, par Sigmund Freud, le père de la psychanalyse, en référence à la pièce de Sophocle, Œdipe-roi. Abandonné à la naissance, Œdipe est amené à tuer son père qu’il ne connaît pas et à épouser sa mère. Pour les petites filles, on utilise aussi le terme de complexe d’Electre, du nom de l’héroïne grecque qui tua sa mère Clytemnestre pour venger son père Agamemnon assassiné par cette dernière. Les manifestations - Vers trois ans, voire dès deux ans et demi, le petit garçon devient possessif avec sa mère, il demande plus de câlins et de tendresse. Il peut aussi chercher à entrer dans l’intimité sexuelle de ses parents en pénétrant par exemple sans frapper dans leur chambre. Pour la petite fille, cette phase correspond au moment où elle fait du charme à son père, elle se blottit dans ses bras et cherche à attirer son attention, tandis que sa mère devient à la fois une rivale et un modèle. Freud désigne cette étape sous le nom de phase phallique, puisque le garçon, en pleine phase de découverte de son corps, est conscient que le pénis est un élément clé dans l’intimité de ses parents dont il est exclu. - Ne réussissant pas dans ces manœuvres inconscientes de séduction, et sans pouvoir mettre de mots sur ce qu’il ressent, l’enfant va souvent refouler sa contrariété qui s’exprimera alors par des colères et des cauchemars, entre trois et cinq ans. Ce moment est appelé complexe de castration par Freud, car face au désir du garçon, c’est la punition donnée par le père ressentie comme la plus adéquate. - Pour sortir de cette situation, progressivement, entre trois et sept ans, l’enfant, dans un processus nommé par Freud la résolution, va renoncer à prendre la place du parent de même sexe, en refoulant dans son inconscient ses émotions et ses passions. C’est l’âge, vers cinq ou six ans, où les petites filles veulent tout faire comme maman et où les petits garçons sont heureux d’adopter des comportements similaires à ceux de papa, de partager des activités avec lui. Comment réagir ? Moment clé pour la construction de la sexualité et de la personnalité, le complexe d’Œdipe est une étape normale mais qui demande de la part des parents une attention soutenue. Il faut expliquer à l’enfant, qui peut devenir agressif, qu’il ne pourra jamais se marier avec son père ou sa mère, mais qu’il trouvera aussi une personne différente avec laquelle il pourra faire comme ses parents. L’autorité du père pose la limite par rapport au désir de l’enfant, elle sert à la petite fille à comprendre qu’elle ne pourra pas avoir avec lui les mêmes relations qu’il a avec sa mère, et au petit garçon que sa mère lui est interdite. Le parent vers lequel se tourne momentanément l’agressivité de l’enfant doit continuer comme si de rien n’était, tandis que le préféré doit saisir les occasions de mettre l’autre en valeur. je sais que c est long mais si ca peux t aider ... moi j avais ca avec ma derniere elle me repoussais sans cesse pour tout et rien a la fois mais avec son papa c etait un ange comme je dit son papa est son dieu mais bon maintenant ca commence seulement a passer et elle a aujourd hui 7ans passe le plus de temps possible avec ton tit bout et parle lui pour lui faire comprendre meme avec des mots d enfants ca devrais l eclairer un peu

[quote:7b1ecb809d="velletaze"]bonjour, question bete, mais pourquoi ton conjoint ne t'aiderais pas pour ces taches pour que tu puissent passer plus de temps avec ton fils et apres avec ton mari?[/quote:7b1ecb809d] Ben le pire c'est qu'il m'aide beaucoup, il fait tout aussi pour m'aider, svt il fait la vaisselle, repaase, fait le ménage, déjà il prépare le repas...mais il aimme bien aussi se poser car s'occuper de noa n'est pas de tout repos et fait beaucoup de travaux dans la maison en ce moment. Rien à dire sur lui. Je connais le complexe d'oedipe mais je trouve que ca fait un peu tôt non??

Bonjour, Souvent les enfants ont des phases envers l'un ou l'autre des parents...selon les situations. Mon fils m'a boudé quelques mois, après que je sois partie un mois à l'étranger, rien de plus logique.... Je pense que premièrement, tu dois relativiser: cela va passer progressivement, même si c'est [u:64d939638e]très [/u:64d939638e]dur je le sais pertinemment. Pour accelerer les choses, n'hésite pas à t' "imposer", en jouant avec lui même s'il demande papa. Continue d'essayer (sans l'empecher de voir son pere pour autant bien sur), et presente toi sans arret meme si vous savez pertinemment qu'il demande papa. Je pense également que pendant un temps tu peux t'occuper exclusivement de ton petit en attendant son coucher, le temps que cela passe... Et en parler à ton mari s'il te reproche que du coup les corvées soient reportées sur votre temps ensemble. C'est dur, mais cela va passer tranquillement, et d'autant plus vite que vous clarifiez les choses entre parents afin d'être sereins vis a vis de votre enfant. Parce qu'il ne faut pas être hypocrite, ces phases peuvent provoquer des jalousies entre parents, et des tensions certaines...il faut en parler pour les libérer, et les surmonter.

Bonjour, Ce n'est certainement pas pour les mêmes raisons, mais j'ai également un p'tit loup de 19 mois qui est en pleine période infernale ! :roll: A l'inverse, c'est moi qui m'occupe beaucoup + de mes loulous que mon mari (qui rentre + tard que moi), et mon fils rejette un peu mon mari en ce moment : il veut que ce soit moi qui l'habille, qui le porte, qui l'aide à manger, etc. Et surtout il est très colérique ! Il se vexe également pour un rien, et au final il pleure énormément ! C'est fatiguant... :roll: Mais dans mon cas en fait je suis enceinte, donc ça doit très probablement jouer ! :wink: Dans ton cas je pense que le fait qu'il réagisse comme ça avec toi en semaine est comme une "punission", du genre "ah ouais tu passes pas beaucoup de temps avec moi, ben je vais te montrer mon mécontentement pour la peine !". Il doit quelque part mal vivre le fait de voir "peu souvent", du moins pas autant que son papa. A toi de lui expliquer tout simplement que ce n'est pas ce que tu souhaites non plus, d'être loin de lui et de ne pas passer autant de temps avec lui que tu voudrais, mais que c'est à cause de ton travail. Que tu dois travailler, c'est important et nécessaire. Je ne te dis pas qu'il comprendra absolument tout, mais ils comprennent beaucoup + qu'on ne pense ! :wink: Je sais que tu dois être épuisée de tes journées de travail + du boulot à la maison, mais je suis assez d'accord avec ton mari sur le fait que lorsque tu es à la maison il est peut être bon que tu te consacres pleinement à ton loulou, au moins une bonne partie du temps, avant qu'il ne se couche. Tu lui manques en journée et le fait que tu ne sois pas pleinement avec lui alors que tu es à la maison est ressenti comme une frustration. Quoi qu'il en soit bien entendu rien n'est perdu, je pense que c'est surtout une passade car il essaye de te dire quelque chose qu'il n'arrive pas à dire autrement. Il a besoin de ton écoute, de ta présence et de ton attention. Bon courage car même si on souhaite toujours le maximum pour nos enfants on n'y arrive pas toujours très bien... J'en sais quelque chose ! :lol:

Merci pour vos témoignages. C'est ce que je vais faire, m'occuper exclusivement de mon fils, puis de mon mari et même si il le faut retarder mon coucher pour faire toutes ces choses! Et moi qui veut un deuxième enfant en ce moment, je pense que je suis déjà bien servie avec un!! Je pense aussi qu'en effet, il me punit comme il le peut!

Bonjour Romelo, J'ai connu ça avec ma fille (et encore parfois maintenant). Elle a 2 ans, mais dés son plus jeune âge, il n'y en avait que pour son père. J'en pleurais souvent puis je me suis aperçue de plein de choses: Lui, était toujours de bonne humeur quand elle était présente, il jouait sans arrêt avec elle,... Alors, j'ai redressé la barre et ai passé plus de temps avec elle. Je veux pas dire par là que je rentrais plus tôt du boulot, mais dés que je rentrais, j'étais à 100% avec elle, même si j'avais eu une mauvaise journée ou si j'avais des soucis, je riais avec elle. J'ai également parlé à mon mari car lui, ne la punissait que très rarement. Je lui ai fait prendre conscience qu'elle me prenait pour la méchante car tous les interdits venaient de moi. Il a fait des efforts. Je ne dis pas que maintenant tout a radicalement changé, mais maintenant, elle est contente de me voir, elle vient me chercher pour jouer, elle me réclame quand je ne suis pas là (même si son père est avec elle). Je comprend que ce n'est pas facile, mais tiens bon. Il faut trouver le bon équilibre. Bisous