Posté le : 08-09-2009 à 22:50
Je reviens juste pour dire que c'est pas forcément mieux :siffle:.
Pour mon prochain, j'ai décidé de faire sans.
Ma péri était trop dosée, je ne sentais RIEN DU TOUT. J'ai grelotté de froid (j'ai accouché le 23 août 2008, il faisait plus de 30°), et elle s'est arrêtée avant la fin. Elle a considérablement ralenti le travail: mon col s'ouvrait à la vitesse de l'éclair, puis pouf, dès la péri, ça a mis un temps fou! Résultat, tellement épuisée que j'ai été incapable de faire des poussées efficaces, et en plus mon fils avait la tête vers le haut... Son rythme cardiaque a fait flipper l'équipe médicale qui a préféré me transférer au bloc, pour une césa, on ne sait jamais.
Bon, ça va, j'ai pas eu de césa.
Mais j'étais épuisée d'attendre d'être dilatée à 10, je voulais sentir quand pousser (donc pendant les contractions) alors quand on m'a proposé de me réinjecter, j'ai refusé et j'ai terminé le travail sans.
Les forceps et une épisio, tout ça en urgence, sans péri, parce que le rythme cardiaque du loulou faisait encore des siennes et que mes poussées étaient trop faibles, d'épuisement... Ca fait un peu mal :lol:.
Le prochain, si je peux éviter de galérer des heures et de trembler comme une feuille, ben, je me passerais de la péri. Et là, peut-être que mon col arrivera à 10 à toute vitesse, que mes poussées seront efficaces parce que j'aurais encore de l'énergie et que du coup, mon bébé naîtra sans forceps.
La péri, après l'avoir essayée, je n'en veux plus.
C'était juste pour vous partager mon vécu de la péri :wink:.
Bises