Posté le : 30-05-2009 à 08:29
Bonjour,
Voilà, je post ici car je sais pas trop où poster.
J'ai pas franchement le moral depuis hier.
Hier midi, une amie m'appelle, elle me dit qu'elle vient de voir mes enfants à l'école en allant chercher sa fille et que le maître d'Alexandre, mon fils de huit ans, aurais jeté Alexandre par terre.
Il faut savoir que lundi, mon mari était allez voir le maître car un petit copain d'Alexandre nous avait rapporté que l'instituteur hurlait tous les jours sur notre fils en lui disant: "Je vais te crier dessus jusqu'à ce que tu pleurs" et ne s'en prennait qu'a lui. Mon mari est donc allé lui dire que son comportement ressemblait de l'acharnement et de l'intimidation et que nous ne cautionnons pas ce genre de choses et que lorsque Alexandre était pénible, d'autres punitions étaient possibles.
Je pensais donc, que tout allait rentrer dans l'ordre jusqu'a hier midi.
Lorsque mon amie m'a appris ça je suis immédiatement parti à la cantine où j'ai demandé à parler à mon fils qui m'a confirmer que le maître l'avait bien jeté par terre. Je suis entrée dans le réfectoire et ai demandé qui était dans la classe d'Alexandre et une demie douzaine d'enfants ont aussi confirmé.
Laissant mon fils finir son repas, je suis allé en classe et ai vu le maître. Inutile de vous dire que les 5 premières minutes ont été houleuses, je lui ai tout d'abord demander ce qu'il se passait avec mon fils sans le laisser me répondre, qu'il ne devait pas y toucher, que c'était allé trop loin, etc. Avec l'insistence du maître, j'ai finit par me calmer et par écouter sa version. Elle était toute autre bien évidemment:
"Mon fils, dans un exès de colère a jeté son exercice à terre, le maitre l'a attrapé afin de l'isoler à un bureau mais Alexandre aurait quitté la classe, le maître l'aurait ramené en classe et l'aurait poussé certainement un peu brusquement, et Alexandre aurait glissé". Cet homme c'est donc excusé et m'à promis que ce genre de choses ne se produirait plus. Indignée par le comportement de mon garçon qui à tendence à dépasser les limites de temps en temps, je suis retourné au refectoire en colère, bien décidée à ne pas laisser passer ça. Je l'ai donc gronder en lui disant que bien que le comportement du maître n'était pas excusable, le sein était ne l'était pas non plus. Je suis donc reparti chez moi.
Mais quand je suis rentré, une maman m'a appelé. Elle m'a raconté la version de sa fille ainsi que d'autres enfants de la classe. Je vous passe les détails: Après qu'Alexandre ai jeté son exercice, le maître l'a attrapé, soulevé et jetté au sol. C'est là où Alexandre a voulu s'enfuir de la classe mais il l'a rattraper.
Je suis donc reparti, à l'école, m'en voulant d'avoir gronder mon fils (bien que je n'excuse en rien son comportement), j'ai pu le voir en récréation et lui demandé s'il avait peur. Il m'a répondu que non. Je suis allée à la mairie demandé un rdv avec le maire mais la sécrétaire et l'adjoint au maire m'ont répondu qu'il n'avait aucun pouvoir concernant ce genre de situation, qu'il fallait que je vois avec la directrice de l'établissement ou l'inspection académique et qu'il ne fallait pas laisser les choses s'envenimer. De retour à la maison, j'ai donc appelé l'école et une dame m'a répondu que la directrice était en maladie.J'ai appelé l'inspection qui m'a renvoyé vers une annexe localement plus proche qui biensur, était fermée.
J'ai donc décidé de prendre rdv avec mon médecin traitant afin de faire un mot pour qu'Alexandre ne suive plus les cours ces prochains jours. Je suis très angoissée à l'idée que cet homme s'en prenne à nouveau à mon fils.
Mon médecin m'a donner raison et m'a conseillé de ne pas mettre Alexandre à l'école le temps de faire une enquète.
Mon mari pense que ce n'est pas une bonne idée, que Alexandre doit aller à l'école, mais moi, j'ai trop peur.
D'autres mamans sont venues me voir à la sortie de l'école hier et leurs enfants ont confirmmés les faits tels qu'on me les avaient rapporté par téléphone. Puis mon fils, le soir, à été très clair et à dit également la même chose.
Donc ma question est: que feriez vous à ma place?
Désolée pour le roman, mais là, je suis telement stressée.