[b:322e1d3ea8]Voilà ce que j'avais déjà poster ailleurs, cela peut peut etre t'intéresser :[/b:322e1d3ea8]
Je souhaite partager avec vous un sujet qui me tient particulièrement à coeur depuis plusieurs semaines : Le lait de vache.
Après avoir été alertée par un médecin sur la nocivité du lait de vache pour l’homme, j’ai décidé de lire plusieurs livres sur le sujet.
Mes lectures m’ont ouvert les yeux et je souhaite vous faire partager ce que j’en ai appris.
Il existe de nombreux livres sur le lait de vache mais on ne nous en fait pas la pub ! A la place, on nous laisse dans l'ignorance et on nous martèle la tête de pub sur les bienfaits du lait et des différents produits laitiers.
Et pourtant la réalité est que [b:322e1d3ea8]le lait de vache n'est adapté que pour le veau.[/b:322e1d3ea8]
[b:322e1d3ea8]De nombreuses recherches ont prouvé la nocivité du lait de vache[/b:322e1d3ea8] pour l'homme mais c'est un sujet "tabou" car si demain, on informait toute la population des risques sur notre santé, plus personne ne boirait de lait de vache et l'industrie laitière fera faillite. Tout est une question d'argent…
[b:322e1d3ea8]Vous vous dites : « Mais pourquoi le lait de vache serait mauvais puisqu’on en consomme depuis la nuit des temps ? » Grosse erreur, c’est complètement faux ![/b:322e1d3ea8]
Sachez que [b:322e1d3ea8]l'élevage des bovins ne remontent en France qu'à seulement 5000 ans et la consommation abondante du lait de vache s'est développé seulement au XXème siècle.[/b:322e1d3ea8]
La consommation du lait de vache en France est donc récente et on commence seulement à en prouver aujourd'hui la nocivité. Je ne pourrai pas vous faire la liste de toutes les maladies et tous les cancers qui sont causés par le lait de vache tellement ils sont nombreux.
Alors pour que vous y voyez plus clair, sachez tout d’abord que dans les laits animaux, il existe 2 sortes de laits :
[b:322e1d3ea8]Les laits albumineux (lait de femme, d'ânesse et de jument) et les laits caséineux (lait de vache, de chèvre et de brebis).[/b:322e1d3ea8]
- [b:322e1d3ea8]Les laits albumineux[/b:322e1d3ea8] sont les seuls laits qui sont adaptés à l’homme.
D’ailleurs, même si tout le monde sait que le lait maternel est le meilleur lait pour nos bébés, saviez vous que les laits d’ânesse et de jument ont de grandes vertues médicales pour l’être humain ? Ils peuvent nous soigner de certains maux et sont fortement recommandés pour les nourrissons (ceux qui ne sont pas allaités ainsi que les prématurés qui n’ont pas encore le réflexe de succion) et les personnes âgées.
- [b:322e1d3ea8]Les laits caséineux[/b:322e1d3ea8] sont indigestes pour l'homme car la caséine entoure et englue le calcium qui le rend inassimilable. Elle se dépose sur la paroi intestinale sous forme de film, comme de la colle, en accumulant des déchets qui seront très incrustés à terme.
Sachez d'ailleurs que la caséine du lait est utilisée dans la fabrication de la colle à bois !
Les laits de chèvre et de brebis présentent quelques avantages par rapport au lait de vache mais nos enzymes sont tout aussi incapables de les métaboliser correctement.
[b:322e1d3ea8]Le taux de protéines du lait de vache est 3 fois plus élevé que le lait maternel, cela le rend beaucoup trop riche pour un bébé. Les produits laitiers contiennent beaucoup trop de calcium (qui en plus n'est pas assimilable) et de phosphore. Le lait de vache est aussi bourré d'oestrogènes, ainsi que de nombreux ajouts de produits chimiques.
Le lait de vache a également la propriété de fixer des toxines déjà présentes dans le corps, il est donc plus difficile de guérir quand on est malade et il est donc indispensable de supprimer tous les produits laitiers pour faciliter la guérison. Le lait de vache cristallise et retient toutes les toxines absorbées chaque jour, les produits laitiers invitent donc les diverses pathologies à s'installer.[/b:322e1d3ea8]
Des différents livres que j’ai lu, je vous recommande de lire :
[size=18:322e1d3ea8][b:322e1d3ea8]« Lait de vache : Blancheur trompeuse » d'Anne Laroche de Rosa, des Editions Jouvence.[/b:322e1d3ea8][/size:322e1d3ea8]
C'est un petit livre de poche d'à peine 100 pages qui ne coûte que 4.90 € et qui se lit très facilement. Il résume très bien tout ce qu'il y a à savoir.
Après, il existe pleins d'autres livres sur le sujet (« Lait, mensonges et propagandes », « Lait de vache : une sacrée vacherie »…) mais celui que je vous conseille est vraiment très bien, clair, concis et pas cher.
[b:322e1d3ea8]Voici le résumé que l’on trouve au dos de ce livre :[/b:322e1d3ea8]
« Le lait de vache, destiné au veau qui grossit d’un kilogramme par jour pendant six mois est-il adapté au bébé et à l’homme, seul mammifère à se nourrir du lait d’une autre espèce ?
De nombreuses recherches ont conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner la nocivité du lait de vache et à le considérer comme un aliment non spécifique à l’homme, responsables de nombreuses pathologies. Cette idée renverse ce que la médecine croyait savoir, heurte nos croyances et notre relation affective au lait et rend difficile un nouveau regard sur cet aliment et les changements alimentaires qui en découlent. Mais pour beaucoup, la santé est à ce prix. »
Dans le livre, il y a un chapitre avec des témoignages de gens qui avaient des problèmes de santé et qui, après un arrêt total de consommation de lait de vache et de produits laitiers ont été plus qu'agréablement surpris des résultats !
L'auteur en parle : « Après avoir cumulé de nombreuses informations scientifiques relevant du domaine de la santé et de la nutrition, et au travers de ma pratique d'hygiéniste nutritionniste, j'ai constaté les changements très bénéfique survenus chez mes consultants, suite à l'abandon total de la consommation de produits laitiers. Ces résultats sont, pour moi, des preuves irréfutables. »
Il y a aussi un chapitre "Comment remplacer le lait" qui explique les différents laits végétaux qui existent.
Le meilleur pour un bébé, c'est le lait d'amandes qui est très riche en calcium et c'est celui qui se rapproche le plus du lait maternel. Et ce sont tous les 2 des laits oléagineux.
[b:322e1d3ea8]Voici quelques extraits de ce livre :[/b:322e1d3ea8]
« La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et reminéralisante par son calcium est en train de chuter de son piédestal ancestral. De nombreuses recherches ont d’abord conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner sa nocivité, pour aujourd’hui l’affirmer et considérer le lait de vache comme un aliment non spécifique à l’homme. »
« Les vaches sont de plus en plus nourries avec des aliments trafiqués et bourrés d'additifs afin de stimuler la lactation, avec une dose systématique de pénicilline, antibiotiques et vaccins. Leur lait devient franchement dangereux et malsains. Et sans parler des farines de cadavres de moutons dont on les a longtemps gavés et donc on commence enfin aujourd'hui à mesurer les graves conséquences sous le terme de "maladie de la vache folle". Pourquoi est ce qu'au moment où les médias dénoncent la viande contaminée par la maladie de la vache folle, ne se préoccupe t'on pas de la qualité du lait de ces mêmes vaches ? Il parait pourtant logique au moins de se poser la question ! »
« Les hormones contenues dans le lait de vache sont des véhicules d’informations qui vont transmettre à l’hypophyse du veau des messages adaptés à cette espèce animale particulière et pas à une autre. Imaginez une information de croissance spécifique au veau, par exemple, peser 200 kg à 6 mois, reçue dans l’hypophyse d’un nourrisson qui, lui, dans le même laps de temps, ne doit peser que 7 à 8 kg ! Que va-t-il se passer ? Tout simplement cette information de croissance spécifique qui ne correspond en rien à la croissance normale de l’être humain va perturber le mécanisme sensible du système hormonal réglé par l’hypophyse et, de ce fait, déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique de l’individu. Quand bien même l’organisme humain serait malgré tout capable de s’adapter à cette désinformation, il le ferait au détriment d’autres fonctions s’étalant sur la vie entière de l’individu et même sur des générations. C’est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements du métabolisme), ni même sur la qualité biologique : le lait de vache issu de l’agrobiologie contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l’espèce humaine. »
« Les produits laitiers contiennent beaucoup trop de calcium et de phosphore. Cet excès rend le magnésium quasi inopérant et il s’ensuit un appauvrissement des cellules nerveuses et musculaires »
« Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l’être humain ayant une croissance beaucoup plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c'est-à-dire insaturées, de provenance maternelle ou végétale. »
« La publicité aidant, les consommateurs abusent des produits laitiers, agents dégénératifs et artificiels qui restent des facteurs déterminants dans l’augmentation des pathologies. Malgré la richesse en vitamines, minéraux et enzymes contenus dans le lait de vache, les effets secondaires des produits laitiers de vache sur l’humain qui les consomme, annule ces éléments. »
« Aucun lait d’origine animale ne protège l’homme contre les germes pathogènes et autres parasites. Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par la modification du milieu digestif et intestinal qu’entraîne véritablement leur absorption. »
« Les éléments constitutifs du lait de vache et du lait maternel sont différents, notamment par la grosseur des molécules et des protéines ainsi que par leur formule biochimique. […] C’est donc un effort considérable que nous demandons à notre foie pour dégrader une trop grosse molécule d’origine animale. Diluer le lait de vache avec de l’eau pour le rendre soi-disant plus digeste ne changera rien à l’affaire, car la formule biochimique reste la même. »
« Des recherches sur la progression de la surconsommation des produits laitiers, dans des pays comme la France, la Suisse, le Japon, les Etats-Unis, ont laissé apparaître une augmentation des cancers. En revanche, dans certaines régions d’Afrique où la consommation laitière est moindre, on relève les taux les plus bas de cancers. »
« Le bébé supporte très mal le sevrage lorsqu’on substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats. Ses premières manifestations seront des selles qui s’éclaircissent (c’est une atteinte biliaire), des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu’à l’étouffement, conséquence d’une intolérance au lait de vache troublant les fonctions stomacale et biliaire. Des rougeurs, des boutons, des croûtes peuvent survenir ainsi que des diarrhées. Les réactions du bébé seront d’autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. Et pourtant la plupart des mamans, mal informées, persévèrent et certaines ajoutent, hélas, des médicaments pour que bébé digère mieux.
Le bébé, par nécessité, finit par s’adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique. Petit à petit, les manifestations de dysfonctionnement cesseront. Le premier signal d’alarme se tait. N’ayant ni entendu ni supprimé la cause, la mère s’imaginera que tout est rentré dans l’ordre mais il n’en est rien. C’est grave car le potentiel vital de l’enfant en est amoindri, l’amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.
L’encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées, celles-ci atteindront l’enfant dans les parties les plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.
A la puberté l’adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux, élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C’est ce qu’on appelle l’acné juvénile qui passera progressivement comme les diarrhées du nourrisson ont progressivement disparu.»
« A l’âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases qui sont les enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est seulement présente chez le bébé qui tète sa mère. »
« Aucun animal sauvage ne se nourrit du lait d’autre animal. Aucun animal sauvage ne continue à boire du lait à l’âge adulte après son sevrage. Ces deux règles sont allègrement transgressées par l’homme. Nous devrions nous contenter du lait maternel pendant la petite enfance. L’homme est donc le seul mammifère qui continue à boire du lait à l’âge adulte (à son désavantage), bien que sa sécrétion d’enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partie de l’âge de trois ans. »
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SOLUTION POUR LES BEBES ET LES ENFANTS :[/b:322e1d3ea8]
Après le lait maternel, les laits de jument et d'annesse sont les meilleurs mais malheureusement ils sont très chers mais le lait végétal est une très bonne alternative.
« Pour les bébés, des laits sans lactose et 100% biologiques sont sortis sur le marché. Ils sont tout à fait adaptés pour leur transit intestinal. »
Sachez que l'on peut donner du lait d'amandes, de noisettes et de chataignes à un bébé. Il existe même un lait jument/chataignes pour les nourrissons.
L'amande est un des aliments les plus riche en calcium donc le lait d'amandes est le meilleur lait végétal pour un enfant. Et ce n'est pas un lait gras car les amandes sont dégraissées.
Le lait d'amande est le lait végétal le plus proche du lait maternel au niveaux compositions. Et tout comme le lait maternel, l'amande est un oléagineux.
Il faut par contre donner quelques compléments alimentaires car le lait végétal manque juste de fer et de graisses.