Posté le : 20-10-2009 à 11:48
[quote:8618010f64="D a r a"]Excusez-moi, je suis PTDR à imaginer Gui faisant un fuck :lol: :lol: :lol:
Trop mignon! :siffle:
Nous, on a l'impression qu'Arthur répète poutain à longueur de journée :oops:. On espère que c'est pas ça :oops:.
Moi je lui apprends à faire ça :top:. Mais il lève tout le poing en entier, il arrivera bientôt à dissocier son pouce de la main, on sent qu'il veut y arriver. Il est trop mimi, il veut tout faire comme nous!
Marion, Tcéline, Lise et Adeline je croise les doigts fort pour vous!
Pour le premier anniv d'Arthur, je voulais les gens qu'on aime autour de nous, trop peur de faire un blues parce que je suis une nostalgique aussi. Et j'ai pas eu le temps de pleurer de la journée, c'est passé très vite. Ca s'est super bien passé, Arthur a été chouchouté par tout le monde. Il n'a pas eu de gâteau mais c'est pas grave, il a encore du mal avec les morceaux. L'an prochain, si on a encore l'opportunité d'avoir la famille réunie autour de lui, on le fera. Cette année, c'était un dimanche, ça tombait bien: pic-nic dans le jardin devant le balcon (on est au RDC). Les gosses se sont bien amusés.
Masouris :arrow: moi aussi j'ai été retenue à la maison toute mon adolescence. Tu veux l'excuse? Les filles ne doivent pas sortir. Point. Pas une boum, pas un ciné, pas de sortie avec les camarades. Du coup, ça n'aidait pas à en avoir :?. Dès qu'il y avait une soirée, je n'étais pas invitée "de toute façon tes parents ne te laissent pas sortir".
Imaginez, je finissais les cours à 18h, à 18h20 je devais être à la maison, pas à 18h22.
J'ai trouvé un job l'été de mes 18 ans (serveuse à Disneyland) et ça m'a permis d'avoir des autorisations de sortie (le travail c'est différent). Mais une nuit à 20 ans je me suis endormie chez mon copain de l'époque et je ne suis rentrée chez mes parents que le matin...
Grosse engueulade avec ma mère. J'ai fait mes bagages. J'ai vécu à gauche à droite. Puis 6 mois plus tard, mon père m'a demandé de revenir. Ca tombait super bien, je ne savais plus où aller, je quittais mon mec. En revenant, mes parents étaient plus souples, ils ne voulaient plus me perdre.
Depuis ces jours-là, on se dit "je t'aime" avec ma mère. On ne se l'était jamais dit.
Et depuis ces jours-là, ma petite soeur a eu le droit de sortir et d'avoir la vie sociale que je n'ai pas eue.
Moi j'avais juste le droit d'être bonne à l'école, enfermée chez moi.
Je regrette un peu, mais je me dis que je serais peut-être différente, que je n'aurais pas le cerveau que j'ai maintenant si j'avais pu ne pas rester enfermée la tête dans mes bouquins.
[b:8618010f64]Si ça se trouve, j'aurais été une pimbêche à l'école? J'aurais fait partie des putasses populaires qui martyrisaient les nanas mal fringuées?[/b:8618010f64][/quote:8618010f64]
Rohh :mdr: Moi c'était un peu pareil petite j'allais chez des copines enfin surtout ma meilleure amie qui est partie après. Après comme j'avais 2h de piano à faire, plus mes cours de danses, plus accessoirement mes devoirs je n'avais pas trop le temps, en tout cas c'était jamais le soir et si je sortais voir un film une fois dans le week-end après c'était enfermage.
Après je me suis autorisée à partir de 18 ans, quand j'ai eu mon 1er copain pareil il m'est arrivée de m'endormir et de ne pas rentrer et de me faire recevoir, je suis partie plus ou moins également je venais juste chercher des fringues en gros, après suis partie pour mes études.