Posté le : 19-10-2009 à 15:05
Et pour la discut' sur la fratrie, je suis l'aînée de 4. Mes parents ont fait 1 fille, 1 garçon, 1 fille, 1 garçon. On aurait du avoir un dernier petit frère mais ça s'est soldé par une FC (il se serait appelé Dara, mon vrai prénom étant Dararath). Ma mère a fait plusieurs FC, dont une avant de m'avoir (elle a perdu son premier bébé parce qu'elle était forcée de travailler pour les khmer rouges pendant la guerre, elle portait de lourdes charges et a tenté de sauter par dessus un petit fossé = chute = plus de bébé mais elle ignorait sa grossesse).
Il y a en moyenne 2 ans d'écart entre chaque enfant. Et ça a été très compliqué. Les garçons contre les filles, les 3 petits contre moi, les garçons contre ma soeur, le petit qui avait ma soeur et mon frère contre lui, etc.
Le dernier était mon chouchou (il l'est toujours :oops:).
Maintenant nous sommes tous adultes. On s'entend à peu près bien, mais on peut pas trop parler de complicité.
Avec ma soeur (qui est la 3è), il y a eu tout 1 an où nous ne nous adressions plus la parole, un truc idiot en plus. La naissance d'Arthur a tout arrangé.
J'ai mal si mes frères et soeur ont mal, mais ils ne me le disent pas. Je l'apprends toujours par d'autres. Ca vous laisse imaginer notre complicité...
Quentin est plus proche du plus vieux de mes frères (n°2) que moi. C'est mon frère à moi mais il se confie mieux à mon mari :cpa:.
D'ailleurs j'apprécie leur relation.
Le plus jeune traverse une mauvaise période, je ne sais pas trop comment l'aider, il est malheureux, son premier amour l'a quitté :(. C'est ma mère qui me l'a dit, elle-même l'a su par ma soeur, parce que ma soeur est assez complice avec lui (n°3 et n°4).
Ma soeur s'en sort, elle a une vie sociale remplie, a un bon job mais pas d'amoureux (ça lui va apparemment).
Quentin aussi est d'une famille nombreuse (5 enfants), vu nos familles, on préfère n'en avoir que 2. Même si on aime fort nos frères et soeurs.
Et puis financièrement, je voudrais pouvoir contribuer aux études longues de mes enfants s'ils souhaitent en faire (j'aurais aimé que mes parents puissent m'offrir ça mais ils n'en avaient pas les moyens). Travailler pendant les études, c'est faisable, mais contraignant. J'ai arrêté moi.