Caprices 2 ans

bonsoir, alors voilà ma louloutte aura 2 ans le 18 avril, elle va chez la nounou et ca se passe plutot bien seulement, quand je vais la chercher le soir vers 17h, ca commence, caprices sur caprices, elle veut descendre les escaliers toute seule, elle ne veut pas que je lui tienne la main dans la rue, ne veut pas se mettre dans son siege auto, esprit de contradiction, donc hurlement, en rentrant j en ai encore pour 1 bon quart d heure avant d avoir le calme, une horreur après une journée de boulot!! ca c est tous les jours de la semaine, mais par contre, le weekend, elle ne me fait pas un caprice, elle essaie bien sur mais se ravise très vite et pas de hurlement. je comprends pas, vous en pensez quoi? je sais pas quoi faire, la baillonner?? non je deconne mais bon c est penible et fatiguant comme situation.

bienvenue dans la crise des 2 ans! le week end tu t'occupes beaucoup d'elle j'imagine. donc elle profite de ces moments plutôt que de faire ses crises. Tout son comportement d'opposition me semble normal. Juste un truc: elle veut descendre les escaliers seule, c'est bien... laisse la faire en la surveillant :) Elle grandit, elle prend en autonomie et en assurance. c'est bon pour elle! Elle veut tout faire seule, y compris traverser la rue... là bien sur tu dis non,mais quand tu peux dire oui, n'hésite pas ;)

[quote:37984c8516="koyala"]bienvenue dans la crise des 2 ans![/quote:37984c8516] :top: :top: :top: [color=blue:37984c8516]Bonsoir Mon fils y est depuis 1 mois et demi (il n'a que 17 mois) et c'est lhorreur :twisted: :twisted: :twisted: :twisted: .C'est aller crescendo chez mon ti homme Je travaille a la maison tout en le gardant donc je suis pas dispo pour lui quand il veut.C'est a ce moment la qu'il me fait ses crises (bien sur car sinon cest pas drole :lol: :lol: :lol: ) et lorsque je suis dispo 100% il en fait que tres peu. Bon courage : ce n'est que le debut :lol: :lol: Bizzz[/color:37984c8516]

Comme je te comprend!! Arthur vient tout juste d'avoir 2ans et nous sommes en plein dedans!! Crise de larmes, on ne sait pas toujours prquoi... Répond NON à toutes les questions, bref dur dur. Heureusement que j'ai un mari d'une patience incroyable car j'avoue que moi je suis parfois à bout de nerfs quand je l'entend pleurer pendant 20mn sans savoir prquoi. quelqu'un sait combien de temps ça peut durer?? Courage à toutes

mon fils vient d'avoir 23 mois et c'est pareil, caprice sur caprice à la maison depuis quelques temps. chez la nounou il est adorable,idem chez papy et mamie... mais à la maison ça devient sportif, il hurle pour un oui pour un non, conteste toute décision en se couchant par terre et en pleurant, voire me tape quand je suis à portée de main... bref la totale... j'avoue que c'est exténuant... mais il paraît que c'est normal. je le laisse faire beaucoup de choses seul, car il a besoin d'autonomie, j'essaye de prendre des décisions qui vont pas dans son sens que si vraiment j'estime que c'est important... mais malgré ça c'est sport!! ça fait du bien de pas se sentir seule dans ce cas. bonne continuation.

ah bon alors ca va parce que je commencais a desesperer! c est vraiment usant mais bon si elle nest pas toute seule ca me rassure, je me disais que peut etre je lui avais laisser passer trop de choses et du coup elle ne voulait plus ecouter. je la laisse faire beaucoup de choses seule mais parfois on a pas toujours le temps et ca devient du vite vite, on va patienter jusqu a ce que ca passe, en espérant qu elle ne va pas m enchainer la crise d ado a la suite!!! bon courage à toutes et bisous aux amours de nos vies qui nous la rende difficile parfois...

Le fameux terrible two : COMMENT REUSSIR SON TERRIBLE TWO Une maison a beau être bien hermétique et solidement construite, un ouragan peut tout de même la frapper de l’intérieur. En fait, cela se produit dans toutes les maisons où vit un enfant de deux ans. Certains parlent du fameux «terrible two» comme de la première adolescence. Une phase nécessaire pour que l’enfant arrive à s’affirmer et apprenne à dire non. Et souvent, il y arrive un peu trop bien… On se demande parfois comment font nos gentils démons pour nous faire grimper dans les rideaux si souvent. Voici en grande primeur LEUR guide de référence en matière de crises: La crise du Non Il s’agit du niveau de départ de toute cette belle aventure! On commence par dire non, puis on ajoute les variantes. Non au bain, non au souper, non au lavage des mains, non au dodo… Avec l’expérience, on peut offrir des extras: coups de pieds, coups de poing, culbutes et pirouettes diverses pour échapper au contrôle des parents. Cette crise permet aussi de faire perdre un temps précieux aux parents pressés et de transformer une corvée de 30 secondes en épopée d’une demi-heure. La crise hollywoodienne On joue la totale. On se jette par terre, on s’effondre, ruinés émotionnellement, abattus par la douleur insoutenable de se faire refuser un biscuit au chocolat avant le souper. Malgré tous les efforts artistiques, les parents ne croient pas souvent à notre détresse. La crise molle Une méthode simple et efficace surtout quand les parents semblent pressés ou essaient de nous mettre des vêtements. On s’efforce alors de devenir aussi consistant que de la purée de pomme: impossible de tenir sur nos pattes. La crise de l’idée fixe L’idée fixe en question peut-être une activité, une phrase ou une question anodine dont on ne peut se départir. À la base, l’idée n’a rien de bien méchant, mais répétée 412 fois en quelques minutes, elle produit son effet sur un parent exaspéré. Celui-ci use parfois de subterfuges afin de nous changer les idées, mais c’est peine perdue. Se termine habituellement par une autre crise, pigée au hasard. La crise du Moi-Maintenant En tant que membre du «Terrible Two», nous sommes en droit d’exiger que tout nous soit dû, au moment où on le souhaite. Il est inutile de partager quoi que ce soit, pas même la télé avec les parents. Il n’est pas question non plus de nous faire patienter pour aucune raison lorsque l’on souhaite quelque chose. Toute infraction à cette règle nous permettra de hurler haut et fort notre indignation. La petite révolte Une méthode éprouvée qui consiste à faire volontairement tout ce qui n’est pas permis, juste pour voir la réaction des parents. Les règles «on ne tape pas, on ne mord pas, on ne dessine pas sur les murs, on ne vide pas la baignoire sur le plancher de la salle de bain, etc.» sont vraiment agréables à outrepasser. Le mieux est encore de transgresser les consignes en regardant les parents dans les yeux, tout en arborant un magnifique sourire. Effet garanti. La statue hurlante Une crise de base. Consiste à rester immobile, les mains contre le corps, les yeux fermés, et à pleurer en hurlant le plus fort possible jusqu'à ce que quelque chose survienne. La concentration est essentielle: on doit donner l’impression aux parents que notre vie est en jeu. La honte publique Le truc est vieux comme le monde: profiter de la présence d’autres personnes pour décupler la portée de notre crise. Le centre commercial est un bon endroit pour s’y entraîner. On peut aussi agir en véritable diable devant la visite ou attirer l’attention sur nos mauvaises manières dans une réunion familiale. Le but étant de faire passer les parents pour des gens irresponsables. La grève de la faim À l’heure des repas, les moyens de pression sont simples et directs. Refuser de manger et/ou exiger autre chose (préférablement sucré ou introuvable). Variante: il est particulièrement drôle de voir le visage des parents lorsqu’on refuse de manger ce qu’ils considèrent être notre mets préféré. La ruse finale! Pour plus de succès, variez les plaisirs et parsemez vos journées de quelques bons moments. La confusion de vos parents n’en sera que plus grande. Ah! Les magnifiques moments… Il paraît que l’étape du «Terrible Two» est nécessaire aussi pour les parents. Pour une expérience parentale complète, il faut vivre ces magnifiques remises en questions, ces soupers désespérants, ces crises de centres commerciaux et ces hurlements infernaux. Et dire que pendant ce temps, l’enfant, en regardant aller ses parents, est convaincu que le «Terrible Two», ce sont ces deux-là…

Très sympa, cet article ! Il vient d'où ? J'aime particulièrement celle-là car je l'ai vécue : [quote:e3b8ba1172="lilou & emma"]Variante: il est particulièrement drôle de voir le visage des parents lorsqu’on refuse de manger ce qu’ils considèrent être notre mets préféré.[/quote:e3b8ba1172] Un soir, alors que mon fils est très fatigué, je décide de lui faire sa purée préférée pour lui faire plaisir. Il était tellement crevé et énervé qu'il n'en a pas voulu ! Effectivement, j'aurais bien aimé voir ma tête :lol: [quote:e3b8ba1172="lilou & emma"]Et dire que pendant ce temps, l’enfant, en regardant aller ses parents, est convaincu que le «Terrible Two», ce sont ces deux-là…[/quote:e3b8ba1172] J'adore la conclusion !! :lol: