Marchand de sable en greve...vite revient!!

Bonjour, ma fille va avoir 3 ans le mois prochain, et niveau sommeil c'est la galère!!! Elle ne fait quasiment plus de sieste ou alors de 12H30 à 13H30 maximum... Forcément, elle est donc fatiguée et donc pénible :evil: , j'ai lu que la qualité du sommeil nocturne dépendait su sommeil diurne, et comme vous pouvez l'imaginer...le soir, ben c'est pas mieux!!!!! Son père lui lit une histoire puis on lui fait un calin, on retourne dans notre chambre, et elle se met alors à faire des allers-retours entre sa chambre et la notre( on éteind sa lumière vers 20H30)jusqu'à 21H30, et la nuit elle vient encore dans notre chambre, et rebelotte on doit la recoucher!!!et ce au minimum 2 à 3 fois!!! :roll: et bien-sûr, elle réveille systématiquement sa soeur de 18 mois :fou: On l'a même retrouvé endormie au pied de notre lit il y a 2 semaines... Mes questions vos enfants font-ils encore la sieste? Quels sont vos rituels? Des solutions???? Je précise que j'ai déjà essayé le sirop homéo et que ça n'a pas marché, et apparamment, il n'y a pas de fantômes ds sa chambre...Et elle n' pas peur du noir. Merci!

Bon pour la sieste, ma fille qui vient d'avoir 3 ans en fait toujours une de 1h30 en général. Dans les mm heures que la tienne car plus tard elle a du mal à se coucher le soir. Pour le cirque de la nuit, je crois que comme il fait très jour le soir nos enfants ont plus de mal à s'endormir. Ma fille a tendance à se relever aussi.Si je vois qu'elle a effectivemeny du al à trouver le sommeil alors je lui fait faire une petite balade dans le jardin, on regarde ce qui poussent, les insectes et puis 5-10 min plus tard c'est dodo ! Mais i m'arrive de la gronder. Je lui explique aussi que je me suis occupée d'elle ou de sa soeur toute la journée et que la soirée est à moi et son père. Non mais ! Sinon l'homéo c'est trop soft, une barre de Lexomil et c'est radical ! Je BLAGUE bien entendu ! A part le dialogue, je crois qu'il n'y a pas gd chose d'autre à faire. Pour le déplacement non désiré dans le lit parental, Ruffo conseille de mettre un petit matelat par terre au pied du lit une nuit, la nuit suivante, dans le couloir, la troisième nuit en core un peu plus loin jusqu'à son lit. Le côté spartiate un important (il l'avait souligné). Alors bon courage. A bientôt pour les nouvelles.

Salut ! Ton titre m'a interpellée (malheureusement :lol: ) J'attend des soluces miracles pour la sieste. Mon petit (2ans1/2) ne veut plus en faire alors qu'il dormait de 14 à 16 environ. Il a appris comment sortir du lit alors c'est bien plus rigolo selon lui de lutter, escalader et aller enquiquiner sa soeur qui elle, du coup ne dort plus non plus. Pourtant son lit n'est pas une prison, il y allait de bon coeur :roll: Bref je suis ton sujet. :wink: [size=7:cb0555f120]J'ai pensé aux menottes mais bof [/size:cb0555f120]

re! je passe en coup de vent car avec la pleine lune ou je sais pas quoi d'ailleurs, elles sont déchainées pour rester polie :lol: ! merci pour les réponses, je passe demain répondre!!

Bonjour, NDM, comme d'habitude... :arrow: Marie:le lexo une barre j'y ai pensé :lol: , mais finalement :non: ce n'est pas la solution....je rigole bien-sûr! je vais regarder de plus près la théorie de Ruffo... J'avais déjà essayé de changé de place son lit peut-être qu'il n'était pas très feng shui...mais ça n'a pas marché :roll: :arrow: Taraëlle:Pour le titre le but était de marquer pour avoir des réponses...en tout cas le marchand de sable a encore jouer sa feignasse hier :gr: ouai les menottes aussi c'est une idée...mais je pense que je vais plutot les utiliser pr mon mari :hinhin: ! malheureusement, je n'ai pas d'autres solutions à te proposer.... Alors les autres si vous en avez????[size=7:68ef30b4c6]cris de détresse[/size:68ef30b4c6] merci!

Je vous mets un article que j'ai trouvé sur le net (sur le Figaro): Valérie Huchet-Dufetrelle Psychologue clinicienne, Paris [color=darkblue:b7ea777cbe]Les troubles du sommeil sont étroitement liés au développement de l’enfant. Ils se manifestent différemment selon l’âge et peuvent avoir des significations diverses. L’opposition au coucher et le refus par l’enfant de dormir dans son lit en font partie. On peut y voir là une difficulté à se séparer du monde diurne même si généralement, trouver refuge dans le lit parental est davantage une forme d’expression du complexe d’Œdipe. Selon la théorie psychanalytique, l’enfant entre 3 et 4 ans est en plein complexe d’Œdipe. C’est un événement important dans la constitution et le développement de sa personnalité. Durant cette période, l’enfant ressent des sentiments ambivalents à l’égard de ses parents, à la fois amoureux et hostiles. Tout un tas de comportements se mettent alors en place pour séduire le parent de sexe opposé et évincer le rival. Se glisser dans le lit parental est l’un de ces comportements. Cependant, la confusion d’espace favorise la confusion des rôles ; il est donc préférable de ne pas laisser votre enfant s’installer symboliquement en position de compagnon. Il faut l’aider à passer ce cap en adoptant des attitudes claires et en posant des limites indispensables à une bonne construction psychique. Après avoir annoncé l’heure du coucher et respecté un certain rituel (lire une histoire, etc.), il est important de mettre votre enfant dans son lit. Vous devez faire bloc avec votre conjoint : il faut lui montrer que vous êtes décidée à changer la situation. Expliquez-lui que « maintenant ce n’est plus l’heure des enfants, papa et maman ont envie d’être ensemble. Tu vas t’endormir dans ton lit comme un grand et on se verra demain matin. » Il y aura certainement des pleurs et des tentatives pour se relever, mais ne soyez pas trop complaisante. Raccompagnez systématiquement votre enfant dans son lit et reformulez la petite phrase. Soyez ferme et évitez de vous mettre en colère ; il doit apprendre à affronter la solitude de l’endormissement. S’il vous appelle dans la nuit, préférez la parole rassurante au réconfort physique : « Tout va bien, papa et maman sont là, tu peux te rendormir. » S’il se faufile entre vous, ramenez-le dans son lit en lui disant que « ce lit, c’est pour papa et maman », il n’y a pas d’alternative possible. Le lendemain matin, reparlez de son réveil nocturne pour lui signifier qu’il a été entendu et reposez l’interdit. N’ayez pas peur d’affronter ses cris pendant quelques jours et sachez qu’il n’est jamais trop tard pour poser des limites et retrouver des nuits paisibles.[/color:b7ea777cbe] si ça peut en aider certainnes :wink: