coucou les filles, prem's ;)
ici bonne nuit, comme d'hab 21h/7h50, reglé comme une pile ;)
bon aujourdhui ma puce a 5mois :)
je fais sa visite tantot avant l'ortho de gaby, du cp ca va etre tres la course, car jai rdv a 15h45, et lortho est a 17h, mais jemene pas ivana avec moi, c trop galere le bib las bas, du coup re aller retour pour lemener chez maman avant .
faut que je le previenne dailleurs, jespere quelle a rien de prévu tanto :S
voilou autrement rien de 9 ici, laprem a été un peu longue hier.
gwen tu n'es pas gentille de nous narguer avec les grosses sieste de théo vilaine va !
allez a +
rhooooooooo je vous avez ecris un long et effacé..
bon adorable on na posté encore en mm temps ;)
vous devez avoir un sacré morale tous les 2, pas drole ce qui vous arrive, je croise les doigts pour vous, et du cp vous devez payé les fras d'avocat a chq fois?
pas cool ta nuit:(
bon ici c'ets guere mieu, on viens de se prendre le chou mon homme et moi, c tjs tendu ici,bref comme dhab un ptti rien par en vrille, et les mots vont tjs trop loin, surtout de ma part :( je susi tellement impulsive et ca ménerve tellement de vivre en colacation depuis qql temps, bref je lui ai dis que je me demande comment on peux etr encore ensemble au bt de 10 ans, quon partage pu rien, e tlui mas sorti, quon na aucune passion commune, et qu heureusement quil a son taf pour rigolais car ici c pas le cas, voilà lambiance ici :S
vi s'est pas la joie, mais ca va, il est rentré ce midi, mas dis bonjour et on a discuté comme ci de rien n'étais :) c comme ca ici soit sa retombe aussitot et on oublie vite ou alors ca dure des jours, tout feu tout flamme comme on dis ;)
bon ivana mas fais une belle sieste ce matin d'1h, et redodo d1 quart dh ds sa chaise haute apres le ptit pot:)
par contre ce midi s'été pdt/poireaux berk jai gouté infect , fade, meme ivana n'as pas aprécie, pourtt c la marque blédina...
dit adorable a kel age tu as donné leg+fruit le midi?
moi la ca fais 1mois kel a commencé les fruits a 16h et 1sem les leg le midi, je nai vais pas demandé a mon doct vu que pour elle c bcp trop tot :S
voilou.
merci pour ta reponse adorable, je vais pt attendre quand meme, car là je vois bien quelle rafole pas des légumes c encore trop nouveau, elle a pas le mm entrain a manger les legumes comparé au fruit, c normal en mm temps.
bon bah chose incroyable, apres 1h de dodo ce mtin, là ca fais 1h10 quelle dors, et devinez je devrais etre deja partis pour le medecin, jai 30 min de route, trop injusteeeeeeee je vais devoir la reveiller, un comble!!! :S
jai ouvert sa porte de chambre elle a lair bien partis dans les bras de morphée ..
voilou bon alors les fifilles adorable et moi on est les seule a faire tourner ce fofo aujourdhui ;)
re, vite fais, alors ma miss, fais 7kg500 et 64cm +1kg et 3cm :)
tout vas bien aaprt une vilaine conjonctivite, vaccin fait, voilou
adorable, océane mhalucine, depuis 5h du matin reveillé elle nas pas dormi du tout???
pas cool ces rougeur, , oui les méchantes dents!! moi jai une creme miracle dermocuivre!!
la aujourdhui elle a battu son record, 2h30 de dodo en tout, hou ca promet pt une nuit mouventé...
waiky, jspere que tu arrivera a poster ts les jours quand mm quand tu aura repris le boulot;)
pour l bib du midi, bah elle bois tout soit 210ml!
vi comme tu dis avec mon homme c'est les montagnes russes, on est 2 sanguin, ca part vite dans les tours et pof ca redescend aussitot...
toi tu lui donnes des soupes alors le soir, moi jai pas commencé ca encore...
deja ca fais bcp là ptit pot + céréales
voilou bon allez je vais allez manger ou pt donner avt le bib de mlle car crise assuré autremnt...arf ca fais tot kan meme 19h40 pour le dernier bib ...
ha oui jai fais une erreur quand je disais que gaby faisais 9kg ( pour en revenir a sacha ) a 9mois bah non c'est a 12 mois 9kg....alors sacha 9kg a 5mois pff jen suis tjs pas remise :)
la jai comparé gaby et ivana ont a peu pres les mm mensurations ;)
bye bye
Il pourra être accordé des congés non payés pour soigner le conjoint malade, un ascendant ou un descendant direct.
Tout salarié a le droit de bénéficier d'un congé non rémunéré en cas de maladie ou d'accident, constaté par certificat médical, d'un enfant de moins de 16 ans dont il assume la charge au sens de l'article L. 513-1 du code de la sécurité sociale.
La durée de ce congé est au maximum de 3 jours par an. Elle est portée à 5 jours si l'enfant est âgé de moins d'un an ou si le salarié assume la charge de 3 enfants ou plus âgés de moins de 16 ans. Sans préjudice des dispositions relatives au congé pour enfant malade prévues au présent article, tout salarié qui justifie d'assumer la charge d'un enfant de moins de 20 ans reconnu handicapé par la commission départementale de l'éducation spéciale a le droit de bénéficier d'un congé rémunéré de 3 jours par année civile, sans condition d'ancienneté minimale.
Ce congé pourra être fractionné en demi-journée, à la demande du salarié.
L'application du présent article ne fait pas obstacle à celle des
dispositions légales, réglementaires ou conventionnelles plus
favorables.
Ceci est valable pour toutes les branches.
Pour toi maintenant voilà ce que je remets aux salariés qui veulent ou accepte une rupture conventionnelle :
Principe :
La rupture conventionnelle permet à l'employeur et au salarié en contrat à durée indéterminé (CDI) de convenir d'un commun accord des conditions de la rupture du contrat de travail qui les lie.
Ce mode de rupture du contrat de travail prévu par la loi est ouvert à certains salariés, sous conditions.
Salariés concernés
La rupture conventionnelle est ouverte au salarié employé en CDI dans le secteur privé, qu'il soit protégé ou non. Le dispositif ne s'applique pas aux salariés en CDD ou en contrat temporaire, ni aux agents de la fonction publique.
Cas d'exclusion
La rupture conventionnelle ne peut pas être homologuée pour un salarié en CDI dans les cas suivants :
lorsqu'il a été déclaré inapte,
lorsqu'il est en arrêt de travail pour cause d'accident du travail ou de maladie professionnelle (AT-MP),
en cas de congé maternité de la salariée,
lorsque la procédure de rupture conventionnelle vise à contourner les garanties prévues pour le salarié en matière de licenciement économique et collectifs.
Une rupture du contrat de travail ne peut pas être effectuée sous forme de rupture conventionnelle lorsqu'elle est prévue dans l'un des cas suivants :
soit par un accord collectif de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC),
soit par un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE).
L'employeur ne peut pas imposer une rupture conventionnelle au salarié. De même, le salarié ne peut pas l'imposer à l'employeur.
La rupture conventionnelle ne peut être envisagée que par un commun accord.
À noter : la rupture conventionnelle peut être remise en cause par un juge s'il est établi qu'un litige existait avant sa signature. Elle peut être requalifiée en licenciement sans cause réelle et sérieuse.
Lorsque l'employeur et le salarié souhaitent rompre le contrat de travail dans le cadre d'un rupture conventionnelle, ils doivent respecter la procédure légale spécifique.
PROCEDURE
Principe :
L'employeur et le salarié établissent les conditions de la rupture conventionnelle à l'occasion d'au moins un entretien.
La rupture conventionnelle est officialisée par la signature d'une convention, qui doit être homologuée.
Entretien obligatoire
L'employeur et le salarié conviennent du principe d'une rupture conventionnelle du contrat de travail lors d'un ou plusieurs entretiens.
La loi n'impose pas de forme particulière concernant le déroulement de l'entretien. Elle n'impose pas non plus de conditions relatives au mode de convocation, au délai de prévenance, à la date, à l'heure et au lieu de l'entretien.
Assistance du salarié
Lors de chaque entretien, le salarié peut se faire assister par une personne de son choix appartenant au personnel de l'entreprise (salarié titulaire d'un mandat syndical, membre d'une institution représentative du personnel ou tout autre salarié).
Il peut également, s'il n'y a pas d'institution représentative du personnel dans l'entreprise, se faire assister par un conseiller du salarié.
Si le salarié choisit de se faire assister durant un entretien, il doit en informer son employeur auparavant (par écrit ou par oral).
Assistance de l'employeur
Si le salarié se fait assister, l'employeur peut également se faire assister par une personne de son choix appartenant au personnel de l'entreprise.
Si l'entreprise emploie moins de 50 salariés, il peut se faire assister soit par un membre de son organisation syndicale d'employeurs, soit par un autre employeur relevant de la même branche.
Si l'employeur décide de se faire assister durant un entretien, il doit en informer le salarié auparavant (par écrit ou par oral).
L'employeur et le salarié doivent établir et signer une convention de rupture.
Cette convention définit les conditions de la rupture du contrat de travail, et prévoit notamment :
la date de rupture du contrat de travail, fixée au plus tôt au lendemain du jour de l'homologation ou de l'autorisation de l'inspecteur du travail (un préavis peut être prévu, dont la durée est fixée dans la convention),
le montant de l'indemnité spécifique de rupture conventionnelle.
L'employeur et le salarié disposent d'un droit de rétractation de 15 jours calendaires. Le délai débute à compter de la date de signature de la convention.
Attention : pour des raisons de preuve en cas de litige, il est préférable que le salarié ou l'employeur qui souhaite se rétracter adresse un courrier par recommandé avec accusé de réception.
Salarié non protégé
En l'absence de rétractation dans le délai prévu, la convention doit ensuite être homologuée par l'administration. L'employeur ou le salarié adresse une demande d'homologation de la convention de rupture à la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (Direccte).
Celle-ci dispose d'un délai de 15 jours ouvrables, à compter de la réception de la demande, pour vérifier la validité de la convention. L'absence de réponse de la Direccte dans ce délai vaut acceptation implicite de la convention.
En cas de refus d'homologation, la Direccte doit motiver sa décision (notamment en cas de non respect d'une étape de la procédure ou de doute sur le libre consentement des parties).
Salarié protégé
La convention de rupture concernant un salarié protégé est soumise non pas à homologation, mais à autorisation de l'inspecteur du travail.
La convention est adressée à la Direccte par l'employeur. L'inspecteur du travail doit s'assurer de la liberté de consentement des parties (en vérifiant notamment qu'aucune pression n'a été exercée en lien avec le mandat du salarié protégé).
L'autorisation de l'inspecteur du travail est notifiée dans les 15 jours qui suivent la réception de la demande.
Tant que le contrat n'est pas arrivé à expiration, le salarié poursuit son activité dans les conditions habituelles. Il peut prendre des congés payés durant cette période.
Salarié non protégé
Tout litige concernant la convention, son homologation ou le refus d'homologation relève du conseil des prud'hommes.
Tout recours doit être présenté au cours des 12 mois suivant la date d'homologation de la convention.
Salarié protégé
Dans le délai de 2 mois qui suit la décision de l'inspecteur du travail, il est possible d'effectuer :
soit un recours gracieux pour demander le retrait de la décision auprès de l'inspecteur du travail lui-même,
soit un recours hiérarchique auprès du ministre du travail,
soit un recours contentieux auprès du tribunal administratif.
La date de fin du contrat est prévue dans la convention de rupture.
À la date de rupture du contrat de travail, l'employeur remet au salarié les documents suivants :
INDEMNISATIONS
Principe :
Le salarié qui signe une rupture conventionnelle homologuée doit percevoir une indemnité spécifique de rupture conventionnelle, quelle que soit son ancienneté.
Il peut également percevoir d'autres sommes, sous conditions.
Montant :
Le montant de cette indemnité est librement négocié par l'employeur et le salarié, sans pouvoir être inférieur :
soit au montant de l'indemnité légale de licenciement :
L'indemnité de licenciement est calculée en fonction de la rémunération brute perçue par le salarié avant la rupture de son contrat de travail.
Son montant ne peut être inférieur à 1/5ème d'un mois de salaire multiplié par le nombre d'années d'ancienneté, auxquels s'ajoutent 2/15èmes d'un mois de salaire par année, au-delà de 10 ans d'ancienneté.
Salaire de référence
Le salaire à prendre en considération pour le calcul de l'indemnité est le 1/12ème de la rémunération brute des 12 derniers mois précédant le licenciement ou, selon la formule la plus avantageuse, le 1/3 des 3 derniers mois.
Dans ce dernier cas, les primes et gratifications exceptionnelles ou annuelles ne sont prises en compte qu'au prorata du temps de présence.
Régime fiscal et social
L'indemnité légale de licenciement est exonérée d'impôt sur le revenu sous certaines conditions. Elle est également exonérée de cotisations sociales selon les mêmes conditions que pour l'impôt sur le revenu.
L'indemnité est soumise à la CSG et à la CRDS seulement pour la partie de son montant qui excède le minimum légal ou conventionnel.
soit au montant de l'indemnité conventionnelle de licenciement, s'il est plus favorable que l'indemnité légale.
Lorsque le salarié n'est pas en droit de bénéficier d'une pension de retraite, l'indemnité de rupture est imposable dans les mêmes conditions que pour l'indemnité de licenciement versée en dehors d'un plan de sauvegarde de l'emploi. (PSE). Elle est exonérée de cotisations de sécurité sociale dans les mêmes conditions. Elle est soumise à la CSG et à la CRDS seulement pour la partie de son montant qui excède le minimum légal ou conventionnel.
Lorsque le salarié est en droit de bénéficier d'une pension de retraite, l'indemnité de rupture est imposable dans les mêmes conditions que pour l'indemnité de départ volontaire en retraite. Elle est assujettie aux cotisations sociales, à la CSG et à la CRDS.
Autres indemnités :
Le salarié perçoit également l'indemnité de congés payés, s'il n'a pas pris tous les congés acquis à la date de rupture du contrat.
Si le contrat de travail prévoit une clause de non-concurrence, la contrepartie financière est due (sauf renonciation à la clause).
Allocations chômage :
À l'issue du contrat, le salarié a droit aux allocations chômage s'il remplit les conditions permettant d'en bénéficier.