A jeun avant declenchement (Page 2)

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Oror3 1653 messages
Oror3
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Posté le : 17-02-2008 à 19:37
D'apres l'OMS qui je pense est une organisation qui sait de quoi elle parle la plupart du temps mais qui a parfois beaucoup de mal a se faire entendre sur certains points et qui a déjà a plusieurs reprise "tiré l'oreille" de la France au sujet de certaines pratiques plus que discutables (entre autres car trop souvent systématisées durant les accouchements) [url]http://www.who.int/reproductive-health/publications/French_MSM_96_24/MSM_96_24_chapter6.fr.html[/url] Le rapport dans son intégralité :arrow: [url]http://www.who.int/reproductive-health/publications/French_MSM_96_24/care_in_normal_birth_practical_guide_fr.pdf[/url] [quote:3daca2331a][size=18:3daca2331a]Santé de la mère et du nouveau-né [/size:3daca2331a] Les soins liés à un accouchement normal: Rapport d'un groupe de travail technique -------------------------------------------------------------------------------- 6. CLASSIFICATION DES PRATIQUES UTILISEES PENDANT UN ACCOUCHEMENT NORMAL Le présent chapitre distingue quatre catégories de pratiques courantes dans la conduite d'un accouchement normal, selon leur utilité, leur efficacité et leur nocivité. La classification reflète les vues du groupe de travail technique sur l'accouchement normal. Les raisons de cette classification ne sont pas exposées ici; le lecteur est renvoyé aux chapitres précédents qui sont le résultat de la réflexion et des débats du groupe de travail, et qui reposent sur les meilleures preuves actuellement disponibles (les numéros des chapitres sont indiqués entre parenthèses). CATEGORIE A : [color=red:3daca2331a]6.1 Pratiques dont l'utilité peut être démontrée et qu'il convient d'encourager[/color:3daca2331a] Plan individuel déterminant où et avec l'aide de qui l'accouchement se déroulera, établi avec la femme pendant la grossesse, et communiqué au mari/partenaire et, le cas échéant, à la famille (1.3). Evaluation des risques liés à la grossesse pendant les soins prénatals, et réévaluation à chaque contact avec le système de santé et au moment du premier contact avec le dispensateur de soins pendant le travail, et jusqu'à la fin du travail (1.3). Surveillance du bien-être physique et émotionnel de la femme pendant tout le travail et l'accouchement, et à l'issue du processus de la naissance (2.1). [color=red:3daca2331a]Boissons proposées à la parturiente pendant le travail et l'accouchement (2.3).[/color:3daca2331a] Respect du choix éclairé de la femme quant au lieu de la naissance (2.4). Fourniture de soins pour le travail et l'accouchement au niveau le plus périphérique où l'accouchement soit possible et sûr et où la femme se sente en sécurité et en confiance (2.4, 2.5). Respect du droit de la femme à l'intimité sur le lieu de l'accouchement (2.5). 8. Soutien empathique des dispensateurs de soins pendant le travail et l'accouchement (2.5). Respect du choix fait par la femme des compagnons présents pendant le travail et l'accouchement (2.5). Fourniture aux femmes de toutes les informations et explications qu'elles souhaitent (2.5). Méthodes non traumatiques et non pharmacologiques pour soulager la douleur pendant le travail comme des massages et des techniques de relaxation (2.6). Surveillance foetale avec auscultation intermittente (2.7). Usage unique des matériels jetables et décontamination appropriée du matériel à usage multiple pendant tout le travail et l'accouchement (2.8 ). Utilisation de gants pour le toucher vaginal, pendant l'expulsion du bébé et pour la manipulation du placenta (2.8 ). Liberté de choisir la position et de bouger pendant tout le travail (3.2). Encouragement à choisir une position autre que dorsale pendant le travail (3.2, 4.6). Surveillance attentive de l'évolution du travail, par exemple au moyen du partogramme de l'OMS (3.4). Administration prophylactique d'ocytocine au troisième stade du travail chez les femmes présentant un risque d'hémorragie de la délivrance, ou qu'une spoliation sanguine même légère peut mettre en danger (5.2, 5.4). Stérilité des instruments utilisés pour sectionner le cordon (5.6). Prévention de l'hypothermie du bébé (5.6). Contact dermique précoce entre la mère et l'enfant et encouragement à commencer l'allaitement au sein dans l'heure qui suit la naissance, conformément aux directives de l'OMS sur l'allaitement au sein (5.6). Examen systématique du placenta et des membranes (5.7). -------------------------------------------------------------------------------- Santé de la mère et du nouveau-né CATEGORIE B : 6.2 Pratiques qui sont à l'évidence nocives ou inefficaces et qu'il convient d'éliminer 1. Recours systématique au lavement (2.2). 2. Rasage systématique du pubis (2.2). 3. Infusion intraveineuse systématique pendant le travail (2.3). 4. Pose systématique de canules intraveineuses à titre prophylactique (2.3). 5. Utilisation systématique de la position dorsale pendant le travail (3.2, 4.6). 6. Toucher rectal (3.3). 7. Utilisation de la radiopelvimétrie (3.4) 8. Administration d'oxytociques à tout moment avant l'accouchement de façon que leurs effets ne puissent être maîtrisés (3.5). 9. Utilisation systématique de la position gynécologique avec ou sans étriers pendant le travail (4.6). 10. Efforts de poussée soutenus et dirigés (manoeuvre de Valsalva) pendant le deuxième stade du travail (4.4). 11. Massage et étirement du périnée pendant le deuxième stade du travail (4.7). 12. Utilisation de comprimés oraux d'ergométrine au troisième stade du travail pour prévenir ou arrêter une hémorragie (5.2, 5.4). 13. Administration systématique d'ergométrine par voie parentérale au troisième stade du travail (5.2). 14. Lavage utérin systématique après l'accouchement (5.7). 15. Révision utérine systématique (exploration manuelle) après l'accouchement (5.7). CATEGORIE C : 6.3 Pratiques sur lesquelles on ne dispose pas de preuves suffisantes pour les recommander fermement et qu'il convient d'utiliser avec précaution tandis que les recherches se poursuivent. 1. Méthodes non pharmacologiques utilisées pour soulager la douleur pendant le travail, comme les plantes, l'immersion dans l'eau et la stimulation nerveuse (2.6). 2. Amniotomie précoce systématique pendant le premier stade du travail (3.5). 3. Pression sur le fond utérin pendant le travail (4.4). 4. Manoeuvres visant à protéger le périnée et à gérer la tête du foetus au moment du dégagement (4.7). 5. Manipulation active du foetus au moment de la naissance (4.7). 6. Administration systématique d'ocytocine, tension légère sur le cordon, ou combinaison des deux pendant le troisième stade du travail (5.2, 5.3, 5.4). 7. Clampage précoce du cordon ombilical (5.5). 8. Stimulation du mamelon pour augmenter les contractions utérines pendant le troisième stade du travail (5.6). CATEGORIE D : [size=18:3daca2331a][color=red:3daca2331a]6.4 Pratiques fréquemment utilisées à tort[/color:3daca2331a][/size:3daca2331a] [color=red:3daca2331a]1. Interdiction d'absorber aliments et liquides pendant le travail (2.3).[/color:3daca2331a] 2. Traitement de la douleur par des agents systémiques (2.6). 3. Traitement de la douleur par l'analgésie épidurale (2.6). 4. Monitorage électronique du foetus (2.7). 5. Port de masques et de gants stériles par la personne aidant à l'accouchement (2.8 ). 6. Touchers vaginaux répétés ou fréquents, spécialement par plusieurs dispensateurs de soins (3.3). 7. Accélération par l'ocytocine (3.5). 8. Transfert systématique de la femme en travail dans une autre pièce au début du deuxième stade (4.2). 9. Sondage de la vessie (4.3). 10. Encouragement à pousser dès le diagnostic de dilatation complète ou presque complète du col, avant que la femme éprouve elle-même le besoin de pousser (4.3). 11. Observance stricte d'une durée stipulée pour le deuxième stade du travail, une heure par exemple, si l'état de la mère et du foetus est bon et si le travail progresse (4.5). 12. Extraction instrumental (4.5). 13. Utilisation courante ou systématique de l'épisiotomie (4.7). 14. Exploration manuelle de l'utérus après l'accouchement (5.7).[/quote:3daca2331a]
Nabila5
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Nabila5
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Posté le : 17-02-2008 à 19:54
Bah moi perso je suis arrivé à la clinique à 20h j'avais quasiment rien mangé de la journée à cause de nausées mais mon accouchement était prévu poour dans un mois mais à cause d'un petit problème j'ai du rester à l'hôpital et j'ai été déclanché le lendemain vers 8/9h j'avais rien mangé depuis la vieille et j'ai accouché à 16h40 et j'ai rien mangé entre temps, d'ailleurs après j'ai mangé que vers 20h !!! Mais t'inquiète t'as la force de poussée puisque de toute façon t'as des perfs qui te donnent toute l'energie dont t'as besoin !!! C'est juste que t'as la sensention de faim mais franchement moi j'avais tellement mal qu je pensais pas à manger ! Mais bon fais comme tu le sens mais ne te gave pas trop, prends juste quelque chose de léger et assez rapide à digérer. Bon courage.
Oror3 1653 messages
Oror3
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Posté le : 17-02-2008 à 20:14
Haaaaaaan la grosse honte sur moi si je mange mac do pendant le travail...ça a l'air d'etre une envie recurrente apparement... :roll: pourvu que j'ai pas ce genre d'envie...c'est quand même caca beurk Macdo un peu^^ :P D'ailleurs si je reviens vous dire que j'ai mangé du Mac do pendan tmon accouchement je vous demande de me flageller avec une botte d'orties fraiche les filles....et de ma passer au goudron et aux plumes... :lol: :lol: :lol:
Guest306025
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Guest306025
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Posté le : 17-02-2008 à 20:33
Vous allez rire mais je suis infirmière. je voulais avoir vos avis car les infirmières on fait souvent le contraire de se qu'on nous dit de faire à l'hopital. Surtout que ca m'enerve que la sage femme ma dit d'etre a jeun a partir de minuit car nous nos patients on les met a jeun 6 heures avant sachant que si j'arrive à 8 heures je vais pas accoucher tout de suite. En plus maintenant dans notre service les medecins nous disent qu'ils est plus du tout nécessaire de laisser a jeun des pateints pour des petites anesthesie (locale, peridurale...). Il faut laisser les patients a jeun que pour des interventions sous anesthesie générale. En tout cas merci pour toute vos réponses. Je dejeunerais léger mais je dejeunerais!!!!!!!! bisous
Nabila5
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Nabila5
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Posté le : 17-02-2008 à 22:52
En tout cas moi je te souhate bon courage pour ton accouchement et qui sait, d'ici jeudi, t'auras peut-être accouché avant. De toute façon à la fin c'est que du bonheur et on oublie la souffrance quon a vécu une fois après avoir vu la petite bouille de notre enfant. Mais j'espère que ça va bien se passer et que tu vas pas trop souffrir quand même !!! Ah bientôt sur le poste où tu nous raconteras ton accouchement... :wink:
vane28 108 messages
vane28
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Posté le : 18-02-2008 à 18:29
coucou en tout cas moi je suis declenché demain matin et j'ai appeler la mat et la sage femme ma dit de manger normalement comme d'habitude car comme c'est un declenchement par gel et que mon col est fermé sa risque rien.voila
Guest306025
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Guest306025
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Débutante
Posté le : 18-02-2008 à 18:50
[quote:9b284c7ab9="vane28"]coucou en tout cas moi je suis declenché demain matin et j'ai appeler la mat et la sage femme ma dit de manger normalement comme d'habitude car comme c'est un declenchement par gel et que mon col est fermé sa risque rien.voila[/quote:9b284c7ab9] Moi c'est par perfusion de syntocinon car mon col est déja ouvert.
amethys 11230 messages
amethys
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Experte
Posté le : 18-02-2008 à 21:14
[quote:abf161ce86="vanchou"]Vous allez rire mais je suis infirmière. je voulais avoir vos avis car les infirmières on fait souvent le contraire de se qu'on nous dit de faire à l'hopital. Surtout que ca m'enerve que la sage femme ma dit d'etre a jeun a partir de minuit car nous nos patients on les met a jeun 6 heures avant sachant que si j'arrive à 8 heures je vais pas accoucher tout de suite. En plus maintenant dans notre service les medecins nous disent qu'ils est plus du tout nécessaire de laisser a jeun des pateints pour des petites anesthesie (locale, peridurale...). Il faut laisser les patients a jeun que pour des interventions sous anesthesie générale. En tout cas merci pour toute vos réponses. Je dejeunerais léger mais je dejeunerais!!!!!!!! bisous[/quote:abf161ce86] Ouah la petite maline... :lol: En tout cas, je te souhaite un bel accouchement et une belle rencontre avec bébé ! Tiens nous au courant !
petitedoula 4450 messages
petitedoula
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Posté le : 19-02-2008 à 16:43
voici ce que jai trouvé http://www.who.int/reproductive-health/publications/French_MSM_96_24/MSM_96_24_chapter2_part1.fr.html 2.3 Nutrition Les opinions sur la nutrition pendant l'accouchement diffèrent grandement de par le monde. Dans de nombreux pays industrialisés, la crainte de la régurgitation du contenu gastrique pendant une anesthésie générale (syndrome de Mendelson) continue de justifier la règle qui consiste à ne rien donner à manger ou à boire à une femme en travail. Pour la plupart des femmes en travail, le problème de la rétention des aliments ne se pose pas car, de toute façon, elles n'ont pas envie de manger pendant le travail bien que beaucoup d'entre elles aient désespérément besoin de boire. Dans de nombreux pays en développement, des croyances traditionnelles liées à la culture interdisent aux femmes de manger ou de boire pendant le travail. La crainte qu'en mangeant ou en buvant pendant l'accouchement une femme s'expose au risque de régurgitation du contenu gastrique lors d'une anesthésie est réelle et sérieuse. Toutefois, ce n'est pas en interdisant les aliments et les boissons pendant l'accouchement qu'on aura la certitude que le contenu gastrique est réduit (Crawford 1956, Taylor et Pryse-Davies 1966, Roberts and Shirley 1976, Tettambel 1983, Mc Kay et Mahan 1988). Plusieurs essais ont été faits pour réduire le contenu gastrique ou l'acidité du contenu, par des moyens pharmacologiques ou en interdisant la consommation d'aliments ou de boissons, mais aucune méthode ne s'est révélée efficace à 100 %. Etant donné l'éventail des niveaux de pH observés, un chercheur a conclu que l'administration systématique d'antacides pendant le travail ne pouvait prévenir avec certitude le syndrome de Mendelson ni modifier le volume du contenu gastrique. Le risque de régurgitation est associé aux risques de l'anesthésie générale. Comme il n'est pas possible de prévenir avec certitude le syndrome de Mendelson, l'approche correcte pour un accouchement normal doit inclure une appréciation des risques liés à l'anesthésie générale. Une fois l'évaluation faite, l'accouchement à faible risque peut être pris en charge sans administration d'antacides. Le travail requiert une formidable énergie. Comme il n'est pas possible de prévoir la durée du travail et de l'accouchement, il est important de refaire le plein d'énergie pour assurer le bien-être du foetus et de la mère. L'interdiction rigoureuse de toute alimentation par voie orale peut provoquer une déshydratation et une cétose. Le traitement courant consiste à infuser par voie intraveineuse du glucose et des liquides. Les effets de ce traitement sur la mère ont été évalués au moyen d'un certain nombre d'essais randomisés (Lucas et al. 1980, Rutter et al. 1980, Tarnow-Mordi et al. 1981, Lawrence et al. 1982). L'élévation du glucose sérique moyen semble s'accompagner d'une augmentation de l'insuline maternelle (et d'une réduction des niveaux moyens de 3-hydroxybutyrate). Elle se traduit aussi par une élévation du glucose plasmatique chez le bébé et peut entraîner une baisse du pH sanguin de l'artère ombilicale. Un hyperinsulinisme peut se produire chez le foetus lorsque la mère reçoit plus de 25 grammes de glucose par voie intraveineuse pendant le travail. Il s'ensuit une hypoglycémie néonatale et une augmentation du lactate sanguin. L'utilisation excessive de solutés intraveineux non salins peut entraîner une hyponatrémie chez la mère et chez l'enfant. Les complications mentionnées ci-dessus, spécialement la déshydratation et la cétose, peuvent être prévenues en faisant boire la mère pendant le travail et en lui donnant un peu à manger. Les infusions intraveineuses systématiques gènent le processus naturel et empèchent la femme de bouger librement. Même la pose systématique d'une canule intraveineuse à titre prophylactique peut encourager les interventions superflues. Dans le cas de l'accouchement à domicile, aucun traitement particulier n'est administré, aucun antacide n'est utilisé et la femme est libre de manger et de boire. Parfois, les femmes sont prévenues que si elles mangent ou si elles boivent pendant le travail, elles peuvent avoir des nausées mais puisqu'elles sont chez elles, personne ne peut surveiller ce qu'elles mangent ou ce qu'elles boivent. Lorsqu'une femme décide de manger, elle se limite généralement à des aliments légers, faciles à digérer. Intuitivement, elle évite les aliments et les boissons riches. On peut dire sans risque d'erreur que pour l'accouchement normal à faible risque, quel que soit le cadre, il n'est pas nécessaire d'interdire la consommation d'aliments. Toutefois, il convient de se demander sérieusement si les effets d'une ingérence dans la nutrition maternelle pendant l'accouchement ne sont pas pires que les risques de syndrome de Mendelson. Et de nombreuses questions restent posées, ainsi : existe-t-il des recherches sur le travail avec un estomac plein ? Y a-t-il une différence entre boire et manger un peu et pas du tout ? Existe-t-il des données sur les effets de l'interdiction de manger et de boire pendant l'accouchement dans les pays en développement où on ne dispose d'aucun moyen pour pallier la perte d'énergie en cas de travail prolongé ? En conclusion, la nutrition est un sujet d'une grande importance, qui revêt en même temps des formes très diverses. L'approche correcte semble consister à ne pas aller à l'encontre du souhait de la femme de manger ou de boire pendant le travail et l'accouchement car, pendant un accouchement normal, il faut une raison valable pour intervenir dans le processus naturel. Il existe cependant de nombreuses craintes et des habitudes dont il est difficile de se défaire dans le monde entier et chacune doit être traitée de façon différente.
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