Même enceinte, cette avaleuse de sabre poursuit ses performances
Âmes sensibles et surtout amateur s'abstenir ! C'est uniquement grâce à sa maîtrise parfaite, une technique adaptée et le suivi constant des médecins que cette maman parvient à pratiquer son art sans aucun danger pour son bébé.
Une histoire à couper le souffle
C'est une histoire ahurissante qu'a récemment rendu publique le Dallas Morning News, l'histoire de Veronica Hernandez, avaleuse de sabre professionnelle et... enceinte de neuf mois ! Une vidéo mettant en scène la jeune femme de 27 ans enceinte avalant littéralement la lame d'un sabre de quatorze pouces (environ 35,5 cm) a été mise en ligne.
La maman, originaire de Knox City (Texas), a mis deux ans et demi d'entraînement constant pour maîtriser cet art spectaculaire. Elle avait pourtant choisi de ne pas prendre ce risque au cours de sa grossesse. Mais une autre avaleuse de sabre rencontrée à cette période, enceinte elle aussi de plusieurs mois, l'a confortée dans l'idée qu'elle pouvait continuer à exercer son métier tout en portant un enfant. À condition toutefois de respecter certaines règles indispensables à la sécurité du futur bébé.
Un risque réel et maîtrisé
« Les organes d'une femme enceinte ne sont pas disposés exactement de la même façon que d'habitude, ces derniers étant compressés. C'est un élément que je dois prendre en considération, et pour cela, on m'a conseillé par exemple de me forcer à me tenir d'une certaine façon, afin de déplacer mes organes et limiter le danger », explique la jeune femme au journal venu l'interroger. Aujourd'hui presque à terme, Veronica Hernandez souligne qu'elle doit redoubler d'attention et utiliser des lames plus courtes.
Mais pas de quoi s'alarmer : le bébé va parfaitement bien, à en croire les dires de la jeune femme et ceux des médecins qui la suivent. Résultat, elle peut donc continuer à avaler ses sabres et à se procurer « l'adrénaline » qu'elle recherche. Reste que les amateurs de sensations fortes sont invités à ne surtout pas reproduire ce genre de tour, à moins d'y avoir été dûment formé.